Farlowella

Farlowella

Farlowella sp. vittata ?
vendu sous le nom commercial de « Farlowella acus »Ordre Siluriformes
Classe: Actinopterygii
Famille: Loricariidae
Sous-famille Loricariinae
Appelé aussi couramment Silure-aiguille.

Il règne un flou presque total sur leur identité réelle: Le vrai F.acus n’est quasiment jamais importé mais la plupart des Farlowella sont pourtant vendus sous ce nom  🙁

Un poisson surprenant qui ressemble à une brindille, à un bout de bois tout mince, et qu’on voit souvent collé contre une feuille ou une racine…C’est un poisson sud-américain, originaire de certains affluents de l’Amazone. Il partage le même biotope que les guppys, et divers Tétras, des petits Cichlidés et d’autres Loricariidés. Il apprécie les eaux lentes et marécageuses, et profite des zones inondées. Contrairement à d’autres Loricariidés il n’est pas à l’aise dans les eaux rapides ni dans le courant, il lui faut donc un bac d’eau calme, peu brassé et plutôt sombre.

 

Description:
Un poisson très mince très allongé qui mesure 12 à 15 cm du bout du nez au bout de la queue. Il est brun, parcouru de lignes plus sombres sur le dos, et se déguise très bien en petit bout de bois. Certains individus tirent un peu sur le beige, d’autres sur le vert olive, mais généralement leur teinte dominante est le brun foncé. Une longue ligne noire qui commence sur le rostre cache les yeux puis en s’élargissant, recouvre les flancs, et continue jusqu’à la queue. Le ventre est plus clair, les plaques du bouclier osseux sont bien visibles. Chez le F.vittata, et F. acus on compte 2 séries de plaques assez larges. Les poissons du genre Farlowella portent leur nageoire dorsale très en arrière, à la verticale de la nageoire anale. Les nageoires sont transparentes, mais portent des taches sombres irrégulières
La bouche est en forme de ventouse, située sous la tête, et porte des lèvres charnues et très larges. Elle joue un rôle dans l’alimentation en permettant au poisson de râper le bois et les algues incrustées grâce à ses dents, ainsi que dans la fixation contre le support et lui permet de résister au courant. Le nez appelé rostre est très long et mince.

Pour leur offrir un milieu adapté, il leur faut un pH entre 6 et 7,2 une eau assez douce, peu de courant et pas trop de brassage. La température peut monter jusqu’à 28 ou même 30 degrés sans les indisposer, mais ne devrait pas descendre en dessous de 25. L’important est d’avoir une eau bien oxygénée si sa température est supérieure à 26 degrés. Il est possible de les habituer à d’autres paramètres, mais il faut les acclimater très lentement et éviter toutes variations brutales des qualités physico-chimiques de l’eau.

Les paramètres de l’eau doivent être un pH entre 6 et 7,2 une eau assez douce ,peu de courant et pas trop de brassage, la température peut monter jusqu’à 28 ou même 30 degrés sans les indisposer mais ne devrait pas descendre en dessous de 25

Il ne vit pas dans des eaux à courant rapide mais plutôt dans des marécages et zones inondées n’aime pas les variations brutales des paramètres mais peut s’adapter si les changements et l’acclimatation sont fait lentement et avec précaution.

Ils sont visibles pendant la journée s’ils se sentent en sécurité dans leur bac et si l’éclairage n’est pas trop intense. Généralement on les voit collés verticalement sur une feuille ou contre une souche. Ce sont des poissons peu actifs, généralement immobiles et bien camouflés dans la végétation, qu’il faut chercher du regard.

On voit généralement les Farlowella posés sur une feuille, le long d’une tige ou collés contre une racine. Il faut bien les chercher dans le bac, ce sont des as du camouflage…Ils restent rarement sur le sol, à l’abri d’une plante ou sous une large feuille. Bien cachés, immobiles on a parfois du mal à les voir dans le bac, ce ne sont pas des poissons spectaculaires qui animeront un aquarium par leur mouvement ou leur nage Mais pour un aquariophile chevronné qui ne cherche pas un poisson tape à l’œil, ils sont très intéressants à observer.

Ils n’ont pas besoin de grottes ni de refuges, ni comme d’autres Loricariidés, de tuyaux à demi enterrés, car ils ne se cachent pas. Les Farlowella n’abîment ni ne déterrent les plantes mais restent volontiers couchés sur les feuilles. Il faut donc prévoir une végétation adaptée à leurs besoins : des Echinodorus avec de larges feuilles, des Anubia et des Vallisneria gigantea et ne pas mettre seulement des plantes comme les Cabomba ou le Ceratophyllum demersum. Ce sont des poissons diurnes, actifs tout le jour, et tout le temps en train de brouter.

Les Farlowella ne s’occupent absolument pas des autres poissons qui vivent dans le bac, ni de ceux de leur espèce d’ailleurs, et les autres poissons les ignorent aussi. Il est pourtant préférable de les faire vivre en compagnies d’espèces calmes, même de grande taille comme des Discus et d’éviter les bancs de poissons agités ou joueurs qui pourraient mordiller leurs nageoires. La présence de Barbus de Sumatra ou de Botia macracantha est déconseillée. Ces poissons sont d’ailleurs originaires d’Asie du sud-est et n’ont rien à faire dans un bac peuplé de Farlowella et d’espèces amazoniennes.
Ce ne sont pas de grands nageurs, mais ils sont capables de se déplacer rapidement en cas de besoin, par bonds rapides, et en partant droit devant eux.. La plupart du temps, ils avancent simplement le long d’une vitre ou d’un support par un mouvement buccal caractéristique.

À l’état sauvage, ils s’alimentent en broutant le tapis d’algues et en consommant les petits organismes qui y vivent, petits crustacés, larves d’insectes et vers. Ce sont des poissons qui trouvent dans les algues une partie de la nourriture dont ils ont besoin. Ils s’intéressent aussi parfois au concombre ou à la feuille de salade mis à leur disposition. On peut encore leur proposer des comprimés à la spiruline (dont presque tous les poissons raffolent…), et divers légumes, courgette, pomme de terre, carotte, petits pois, brocolis…

Malheureusement, il arrive parfois qu’ils abîment les feuilles de certaines plantes à force de les râper, et causent des déchirures dans les végétaux les plus tendres. On ne peut rien y faire à part tenter de leur proposer d’autres aliments qui pourraient les détourner des feuilles qu’ils détériorent. C’est un problème semblable à celui posé par certains Ancistrus qui massacrent littéralement les feuilles des Echinodorus Les Farlowella ne mangent PAS de bois, ni souches ni racines, mais consomme la micro-faune qui y vit.
Il faut faire spécialement attention à l’hygiène de leur bac, car ils sont sensibles aux nitrates et réclament une eau très propre.

Reproduction

Reproduction.

Les Farlowella se reproduisent en aquarium, même en bac communautaire. Les pontes sont relativement fréquentes mais l’élevage des jeunes présente des problèmes, car ils sont difficiles à nourrir. La ponte dure quelques heures, elle a lieu généralement au cours de la nuit, ou très tôt le matin et produit de 20 à 60 œufs environ. Le mâle garde le frai et le ventile de ses nageoires, durant 10 jours, mais la durée de l’incubation peut varier selon la température de l’eau. Le mâle les surveille et les évente jusqu’à l’éclosion. Les 3 premiers jours ils restent fixés et se nourrissent de leur sac vitellin, puis dès le 4 ou 5ème jour, ils parviennent à la nage libre et commencent à brouter. Les jeunes doivent être nourri d’algues et d’infusoires. Leur croissance est très rapide les 3 premiers mois et se ralentit ensuite.

Pour obtenir des reproductions, un bac spécifique est préférable, il faut une eau dont les caractéristiques s’approchent de GH 5 à 10°, pH 7, température 26°C.
Mâles et femelles se différencient en observant la forme de leur bouche ce qui est assez simple car ils sont souvent collés contre les vitres du bac. Chez les mâles la bouche est large et garnie de soies. À l’époque du frai, les mâles présentent des odontodes de chaque côté du rostre qui sont bien visibles. Le rostre du mâle présente de légères aspérités qu’on sent sous les doigts, alors que la femelle a un rostre lisse.
Chez les femelles, la bouche est plus étroite et nue. De plus un jour ou 2 avant de pondre, son oviducte est bien visible.

Contrairement à bon nombre de Loricariidés, les Farlowella se reproduisent en aquarium tout au moins chez des aquariophiles expérimentés.
Les Loricariidés ont une saison de ponte, comme les Corydoras ils pondent en hiver et jusqu’au printemps, plus ou moins entre novembre et mars. Leurs premières pontes débutent à l’âge d’un an et demi, parfois avant si, les poissons sont bien nourris.
C’est le mâle qui se charge de nettoyer la surface de ponte, une vitre, une racine ou une large feuille.
La ponte dure quelques heures, elle a lieu généralement au cours de la nuit, ou très tôt le matin. Les premières pontes produisent une vingtaine d’œufs environ. Les poissons plus âgés et plus expérimentés sont capables de pondre jusqu à 80 œufs. Le mâle garde le frai et le ventile de ses nageoires, durant environ 10 jours, mais la durée de l’incubation peut varier selon la température de l’eau, à 25º, les œufs éclosent entre le 9 et le 10è jour, souvent aidés par le mâle.

Les alevins les plus tardifs sont souvent plus résistants et plus gros. Les 3 premiers jours ils restent fixés et se nourrissent de leur sac vitellin, puis dès le 4 ou 5ème jour, ils parviennent à la nage libre et commencent à brouter. Il faut dès lors leur fournir le plus possible de végétaux et d’algues contenant des micro-organismes. On peut aussi leur proposer une purée de petit pois, de la courgette avec la peau, et des feuilles de laitue. Le nourrissage des alevins est délicat et l’on perd souvent une grande partie des jeunes qui ne s’alimentent pas correctement par manque d’algues.

 

et ici toute une page en allemand qui détaille cette reproduction :  http://www.welse.net/

Pour aménager leur aquarium, on peut utiliser des racines de tourbière qui acidifient et colorent l’eau en relâchant des tanins, préalablement bouillies pour éliminer les micro-organismes, posées sur un fond sablonneux et entourées de plantes hautes.
L’eau de conduite convient pour autant que le chlore soit éliminé par un bon brassage et que la dureté ne dépasse pas 12 TH. Sinon il est nécessaire d’employer de l’eau osmosée en mélange pour obtenir une dureté plus basse. Le pH à obtenir se situe au environ de 7pH. Le renouvellement régulier d’une partie de l’eau reste le meilleur moyen de prévenir les problèmes d’hygiène et la dégradation du milieu. Il faut mesurer régulièrement les nitrates et veiller au bon équilibre de l’aquarium.

Attention au moment de la capture lors de l’achat ou pour un changement de bac. Il faut soigneusement éviter de casser le dos ou la queue des poissons en les coinçant dans l’épuisette lorsqu’on les plaque contre la vitre. Ils restent collés et il est délicat de les remonter sans les abîmer.

À l’arrivé à la maison il faut éviter de vider directement le sachet et le poisson dans son nouvel aquarium. Un temps d’adaptation est nécessaire. Il convient de laisser le sac ouvert flotter à la surface de l’eau pour que les températures s’équilibrent, et d’y verser à plusieurs reprises un peu d’eau prise dans l’aquarium et d’attendre que le poisson soit habitué à ces nouveaux paramètres. Ces manipulations peuvent prendre plus d’une demi-heure et sont gage d’une bonne acclimatation du poisson à son nouvel environnement. On peut ensuite le faire sortir en évitant de verser l’eau contenue dans le sac afin de ne pas transvaser inopinément des escargots, des algues ou des parasites indésirables.

Pour le nom exact de l’espèce, sans le lieu de pêche c’est quasi impossible a savoir,  je n’ai pas trouvé de photo ‘fiable’. Même celle de FishBase sont ‘suspectes’ : on y voit une Farlow a 3 rangées de plaques ventrales identifié comme acus !!  Du reste l’ID reste très sujette a caution, même chez les spécialiste. Cela ressemble à l’histore du Sturisoma panamense : une description de 15 lignes a laquelle 80% des Farlowella correspondent, un lieu de capture, une gravure datant du 19eme siècle et depuis plus rien. La question pourrai meme etre ‘existe t-il vraiment ?’. Du coup on en reste a dire que si un Farlowella de ce type (patron bicolore avec une bande sombre laterale continue, rostre plutot court et applati, 2 rangée de plaques ventrales) est peché en ce lieu alors c’est un acus. S’il est peché ailleur alors c’est autre chose. Du reste, pour ceux de mon ‘fagot’ il y a un critère qui coince pour l’acus : la taille. Il ne devrait pas faire + de 17cm SL, or j’en ai au moins 2 à 20-22cm SL.
D’ou le fait que je me range à l’avis de Evert&Seidel (les auteurs du Catfish atlas de Mergus) qui se refusent a identifier precisement les farlowella du commerce.

Ils notent qu’il y a 2 espèces au moins :
– une espece du groupe acus, sans doute non decrite. Il ressemble beaucoup au vittata. patron bicolore brun avec une bande sombre continue plus ou moins longue sur le cote, rostre court, droit, legerement aplatis formant un decrochement avec la tete, filaments de caudale court, 2 rangées de plaques ventrales, taille 22.5cm SL. Cela correspond assez bien a ceux qui sont dans notre bac et a tes poissons egalement. Le couac c’est que le vittata est souvent presente avec des filaments de caudale long (50-80% de la taille du poisson), mais il n’est pas decrit avec !! Par contre la zone de repartition tres grande, facilement accessible et sa fréquence expliquerai sa diffusion. Selon des rapport de peche il suffit d’un coup d’epuisette dans la vegetation des berges pour en remonter une poignée. Cela expliquerai aussi que l’on n’en trouve pas en dessous de 10-15cm SL en magasin : Ils sont probablement sauvages.

Du reste cela cadre avec l’aspect economique : long a elever, facile a pecher, resistant au transport a partir d’une certaine taille… Cela expliquerait aussi certaines difficultés d’acclimatation. Sur l’aspect sauvage, je ne suis sûr de moi que pour un des notres, acheté dans un lot de 6 a 20-22cm SL avec 80% de pertes a l’acclim (refus de se nourrir) dont j’ai pu retrouver le cheminement a partir de l’import en allemagne (merci Thomas) mais pas le lieu d’export (Bresil?). Une ou plusieurs especes ? comment etre sûr ? Nous avons des speciment au rostre plus ou moins aplatis, plus ou moins sombre. Cela semble variable selon la saison et le sexe. Je n’ai observe que des femelles avec un rostre plus sombre et un peu plus fin, mais il s’eclaicis en saison de repro. Tous nos males ont clairement le dessous du rostre clair, d’ou le fait que je pensais voir 2 males sur ta photo. Mais cela ne veut pas dire que seul les male sont ainsi, surtout si le second poisson pond . Les odontodes ne sont pas un critere tres fiables car ils apparaissent et disparaissent au long de l’année. On peut juste dire que s’il y en a, c’est un male, sinon… Quand au fait que tu ai 2 espece, mon opignon est que cela peu aussi bien etre une variation de la meme vu la grande zone de peche. Je ne vois pas de criteres determinant pour les placer dans deux especes differentes.

– une espece du groupe mariaelenae, identique a la premiere mais plus petite avec des filament de caudale plus long et surtout 3 rangées de plaques ventrales. Nous avons 2 femelles comme ceci. Je n’ai jamais vu de male, mais je cherche.
– Depuis hier je pense qu’il y a une troisieme forme. Le lien de Serge montre un poissons qui ressemble a un Farlowella amazona, un vrai. Il est d’un patron plus homogene brun sombre, le rostre et la tete forment un meme ensemble triangulaire et le rostre se termine par une petite boule.

Voila ce que j’en sais après pas mal de recherche.
© Fred Magnier 

Population suggérée : Les rivières et ruisseaux sud américains sont peuplés par grand nombre de poissons d’aquarium bien connus. Un aquarium de type « amazonien » de 250 litres par exemple, peut abriter une population selon ce modèle :
3 Farlowella.
Un groupe de 6 Corydoras qui restent sur le fond,
Un couple de Mikrogeophagus ramirezi ou un couple ou trio de petits Cichlidés amazoniens comme les Apistogramma borellii, A. nijsennii, ou Mikrogeaophagus altispinosa.
Un banc d’une douzaine de Paracheirodon,
Un autre banc de petits Tétras.

Alimentation.
Les apports végétaux sont indispensables, sous forme de concombre, courgette, salade, épinards légèrement bouillis. On leur donne aussi des comprimés à la spiruline, et des algues lyophilisées.

Reproduction des Farlowella

Il faut savoir que ce poisson ne pond que selon certains paramètres, T°26, pH près du neutre, gH entre 5/10, eau vieille ambrée et pas trop brassée( dans son biotope il vit plutôt en zone marécageuse lors d’inondation).
Ce qui fait penser à certain que c’est un poisson saisonnier.
De plus on ne le trouve pas à l’état juvénile en vente

Ce qui est surprenant par contre c’est que la femelle pond ses oeufs juste en façe du rejet du filtre( surement pour une meilleur oxygénation des oeufs), et les pontes ont eu lieu toujours au même endroit.
ça fait deux ans que je maintiens un couple, et ils se sont accouplés 3 fois en été ,en juillet et août.
Ils se nourrissent principalement d’animacules des gazons alguaire.

une grosse femelle bien ronde

Voila ce que j’ai trouvé un beau matin, auparavant M et Mme se sont entrelacés durant 10/12h, puis M a nettoyé un espace sur la vitre d’environ 30cm sur 15cm, quand Mme a bien voulu, elle y a déposé ses oeufs:

:

Puis le mâle protège ses oeufs env 10 jours, et durant l’éclosion il les aide en les libérant de leur membrane

Un ancien pondoir inutilisé permet de protéger la ponte car il n’est pas possible de récolter le oeufs qui sont bien trop fragiles

Les premiers alevins sont sortis au bout de huit jours

Une fois tout les oeufs éclos, je décide de les transvaser dans un bac spécifique de 20l

après une semaine

Un jeune, un mois et demi après sa naissance,

que j’ai remis dans son bac d’origine, en compagnie des Platys

c’est le même spécimen âgé de six mois:

J’ai réussi à en sauver 3 sur pratiquement 44 oeufs à cause d’un problème de chauffage débranchéChaque ponte donne une quarantaine d’oeufs, pour les deux premières pontes j’ai laissé faire la nature et ils se sont tous fait croquer dès qu’ils sortaient de l’oeuf.

Concernant la nourriture je n’ai pas d’infos, j’ai juste mis des plantes où je voyais des algues encroùtantes, et de temps en temps je mettais un cachet « tetratabimin » écrasé, et je siphonnais le surplus le lendemain .

Voila, ce post n’est en aucun cas un écrit scientifique, c’est juste une expérience que j’ai eu la chance d’avoir dans mon bac et que je vous présente    jlc Basque

Nourriture.
Ce sont des mangeurs d’algues, ils ont besoin d’une part végétale importante de végétation qu’on peut distribuer sous forme de laitue, d’épinards, de concombre ou d’autres légumes. Mais ils mangent parfois aussi des proies vivantes, les vers de vase, des artémias, ou des larves de moustiques, et apprécient les flocons et pastilles de fond qu’on distribue aux Corydoras.

Difficile à nourrir il lui faut des algues. Et souvent ils meurent lentement de faim car il ne trouve pas assez à manger ou les aliements distribués ne lui conviennent pas. C’est vraiment un mangeur de végétaux ,et parfois un destructeur de plantes. à force de les user et des râper.

 

Ce texte a été écrit pour le numéro 218 d’Aquarium Magazine , ©Véronique Ivanov