Poissons rouges

 Les poissons-rouges

Cyprinus auratus , cyprin doré, Famille des cyprinidés

Bon nombre d’aquariophiles ont débuté leur hobby avec un ou deux poissons rouges dans un bocal ; gagnés dans une foire ou offerts par des parents pleins de bonne volonté . Mais cet animal mérite mieux qu’une simple boule dans laquelle il tourne misérablement en rond .

Le poisson rouge est la plus ancienne variété de poisson , domestiqué et sélectionné depuis plus de 1000 ans par les Chinois. La forme sauvage argentée, originaire d’Asie et peu colorée atteint une cinquantaine de centimètres . Les variétés rouges ont été sélectionnées depuis des centaines d’années : dès le XIIe siècle elles décoraient les bassins des palais des empereurs de Chine et des Mandarins. Les premières importations en Europe datent du 17e et des poissons rouges furent offerts en cadeau en 1745 au Roi de France et à Mme de Pompadour, sa favorite.

Bien que très robustes et capables de survivre plusieurs mois dans une boule en verre , ils méritent mieux . Dans un bocal de ce genre, l’eau est vite souillée et l’oxygène manque car la surface de contact air-eau est trop petite pour favoriser les échanges gazeux. Les boules sont à proscrire, leur vente est d’ailleurs interdite en Suisse et dans d’autres pays d’Europe.

Il a plus de 20 ans et mesure 43 cm. !

 

Maintenance en aquarium

Offrons à nos poissons rouges un vrai aquarium , au moins 150 litres pour 3 ou 4 jeunes individus, et bien aménagé, plantes solides et dures et décor.  Si on envisage d’acheter plus de poissons il faut alors prévoir un bac de 240 litres, en comptant 30 à 40 litres d’eau par poisson au moins. Plus le bac sera grand et plus il sera facile de le garder propre, les PR sont des gros pollueurs car ce sont des poissons herbivores !

La plupart des aquariums sont aujourd’hui vendus avec une rampe lumineuse, ce qui permet d’installer des plantes qui ont besoin de lumière artificielle. Les poissons rouges malmènent les plantations car ils cherchent sans cesse leur nourriture et mangent volontiers les plantes molles et les tiges tendre. Il est donc nécessaire d’acheter des plantes dures , coriaces et adaptées à une température de 20 degrés .

Pour la décoration on place quelques pieds de Cryptocorynes ou des plantes dures comme des Anubias. On peut ajouter régulièrement quelques plantes flottantes, (du Cératophyllum , des Egeria densa ,du Myriophyllum ) qu’ils pourront manger et qui pourront aussi éventuellement servir de substrat de ponte.

Il est utopique d’espérer garder des belles plantes dans un bac à poissons rouges !

Elles leur servent plus souvent de repas que de décor ! mais un bac sans plantes est triste ; de plus les plantes participent activement à l’équilibre du bac en absorbant les Nitrates et en produisant l’oxygène nécessaire aux poissons. Des Anubias et des Microsorum ont des bonnes chances de résister surtout si l’on veille à distribuer 2 ou 3 fois par semaine des compléments végétaux sous forme de feuille de laitue , d’épinards ou de salade bouillies quelques secondes. Ils apprécient aussi les petits pois cuits, la courgette et le concombre cru, et la plupart des fruits , à l’état sauvage ils se nourrissent essentiellement en broutant le tapis végétal .

Le chauffage n’est pas nécessaire, les poissons rouges apprécient une eau à 18-20 degrés. Il est même préférable de ne pas dépasser 22 degrés . En cas de grosse chaleur en été, on peut rafraîchir l’eau du bac en remplaçant chaque jour 10 % par de l’eau fraîche et en rajoutant un bulleur pour augmenter l’évaporation.

La filtration doit être importante car ce sont des gros pollueurs . On doit prévoir de filtrer 3 à 4 fois le volume du bac par heure ainsi qu’une bonne aération qui brasse l’eau et favorise les échanges gazeux. Dans ce type de bac où l’on ne privilégie pas la pousse des plantes, il est préférable d’assurer le brassage du bac et un bon apport d’oxygène pour les poissons. Un filtre puissant est indispensable et va conditionner la bonne qualité de l’eau de leur aquarium, qui reste claire et sans odeur ; Sans une bonne filtration ils ne survivront pas longtemps. (voir ces pages sur la filtration )

Des changements d’eau importants de 30% chaque semaine (et même plus jusqu’à 50% si le bac est très peuplé) permettent de garder un bon équilibre. Le siphonage des déchets d’aliments, des déjections des poissons et des plantes mortes permet de garder le sable propre.

Les poissons rouges étant des fouisseurs, qui remuent le sol du bac, le mieux est de choisir un sable de granulométrie moyenne et pas trop fine sinon ils projettent des particules inesthétiques sur les plantes et le décor. Il est aussi inutile d’ajouter un engrais pour les plantes dans le sous sol, ni argile ni tourbe, tout est démonté quand ils fouillent le sol et tout se retrouve flottant dans l’eau du bac.

Selon la région il peut être nécessaire de déchlorer l’eau du robinet si elle a vraiment une odeur forte, mais généralement les PRouges y sont peu sensibles; Idéalement , lors des changements d’eau on devrait tirer l’eau la veille et on la laisser reposer dans un bidon pour que le chlore s’en échappe. On veille aussi à ce que la température de la nouvelle eau soit le plus proche possible de la température de l’eau du bac en mélangeant eau chaude et froide . Si elle est vraiment trop fortement chlorée, l’emploi d’un conditionneur d’eau peut être nécessaire. Les changements brutaux avec une eau trop froide rendent les poissons malades…

La dureté et le pH sont moins importants que pour un aquarium de poissons exotiques d’eau tempérée, les poissons rouges s’adaptent et se montrent résistants. L’achat de test (pH, nitrates, dureté…) est quasiment inutile.

 

Maintenance en étang

Ils apprécient les eaux dormantes et peu profondes. Un bassin d’un mètre de profondeur ou 1,20m est idéal, même en région froide où il neige et gèle en hiver, car le fond du bassin reste hors gel.

Les poissons rouges communs supportent des températures de zéro à 30 degrés. Ils sont très robustes et peuvent rester toute l’année dehors. Les poissons passent l’hiver enfouis dans la vase et ressortent au printemps, dès que l’eau se réchauffe

La plantation doit être bien fournie en végétaux oxygénants et nettoyants . Il faut prévoir de l’ombre pour protéger le bassin lors des grosses chaleurs de l’été et un système de pompe pour agiter l’eau et éventuellement la filtrer.

Si le taux d’oxygène dans l’eau baisse trop quand la température du bassin augmente , il faut alors oxygéner l’eau par une cascade ou un jet d’eau . L’eau s’évapore très vite ce qui entraîne une concentration des nitrates et il peut être nécessaire de compléter le niveau par des apports d’eau fraîche.

Un excès de matières organiques, du à une nourriture trop abondante, ou à une accumulation de déchets ou d’algues ou à la présence d’un poisson mort…. peut aussi faire monter trop haut le taux de nitrates. Il est alors nécessaire faire un important changement d’eau pour rétablir les bons paramètres.

Les formes plus évoluées ( têtes de lion et autres télescopes ) ont besoin d’être rentrés en automne, dans un bac non chauffé mais dont l’eau ne descend pas en dessous de 15 degrés environ

Variétés

Autrefois en Chine les poissons étaient fréquemment élevés dans des pots en grès ou des jarres de terre cuite ,à la place d’aquariums en verre transparent et les éleveurs se mirent à privilégier les animaux aux formes curieuses ,puisque vus d’ en haut ils ressemblaient à des fleurs qui flottent .

De nos jours les poissons rouges communs , sont actuellement élevés en Italie, plus particulièrement dans la région de Bologne.

On trouve dans le commerce de nombreuses variétés de poissons rouges, qui n’ont parfois de rouge que le nom… Ils sont argentés , de couleur crème , panachés de noir ou d’orange.

Leurs formes bizarres sont multiples. Parmi les poissons rouges les plus fréquemment proposés à la vente on peut trouver :

 

– carassin comète

dont le corps est normal mais dont les nageoires sont fines et allongées

– carassin queue de voile

dont le corps court et trapu mesure une dizaine de cm et dont la nageoire caudale pend et compte 3 ou 4 lobes.

– carassin shubukin

qui ont des voiles plus longs sur les nageoires et la queue et qui sont généralement multicolores ,panachés d’orange ,noir et blanc

– carassin télescope,

noir ou orange ,dont les yeux sont globuleux et exorbités .

– carassin tête-de-lion ,

qui a une tête boursouflée et couverte de bosses et de protubérances

 

On connaît actuellement plus de 100 variétés ,mais en s’éloignant des souches originelles , on se retrouve avec des poissons moins résistants et plus délicats à maintenir et à reproduire.

 

S’ils sont bien traités, les poissons rouges peuvent atteindre l’âge respectable de 20 à 25 ans. Comme pour toutes les autres espèces de poissons, leur taille dépend du volume d’eau dans le quel ils sont élevés. S’ils sont maintenus dans un aquarium de 50 à 100 litres les Poissons Rouges ne dépasseront pas une douzaine de centimètres, mais dans un étang ils pourront atteindre 30 cm et parfois jusqu’à 50 cm

Nourriture

Les poissons rouges sont omnivores, ils se nourrissent tout seuls dans un étang , en trouvant des larves d’insectes et des vers de vase ou des œufs.Ils mangent aussi toutes sortes d’algues et le spousses des plantes. On peut leur distribuer en plus au printemps des flocons et des comprimés mais aussi des larves de moustiques, des tubifex et des daphnies,vivants ou congelés. La plupart des animaleries proposent des boulettes ou des bâtonnets qui flottent à la surface et ne polluent pas trop le fond.

En aquarium ils vont brouter les algues et mangent volontiers les plantes ; il est nécessaire de prévoir une distribution régulière de salade , d’épinards pochés ou de flocons d’avoine pour éviter qu’ils massacrent toute la plantation du bac.

Ils viennent réclamer à manger en surface.

Bien acheter

Comme on ne peut pas toucher les poissons avant de les acheter, il est nécessaire de bien les observer dans l’aquarium du magasin. Plusieurs points sont importants : Il faut vérifier que

  • les écailles sont intactes et qu’il n’y ait pas de lésions apparentes ,les couleurs doivent être vives et brillantes,
  • les nageoires doivent être intactes (les maladies bactériennes commencent toujours par infecter les nageoires).
  • les flancs ne doivent pas être creux L’attitude générale donne aussi des renseignements précieux :le poisson doit nager en pleine eau et ne pas rester posé au fond ou caché dans un coin sombre.

 

Après l’achat, le poisson est transporté dans un sac en plastique , avec un peu d’eau , parfois gonflé à l’oxygène. A l’arrivé il faut éviter de vider directement le sac et le poisson dans son nouvel aquarium .Un temps d’adaptation est nécessaire. D’abord laisser le sac ouvert flotter une dizaine de minutes à la surface de l’eau pour que le poisson s’habitue à la température, puis y verser quelques décilitres de la nouvelle eau et attendre que le poisson soit habitué à ces nouveaux paramètres. On renouvelle l’opération 2 ou 3 fois en 10 ou 20 minutes…On peut alors le faire sortir en évitant de verser l’eau contenue dans le sac afin de ne pas transvaser inopinément des escargots ou des parasites indésirables. L’eau des aqauriums des magasins est souvent pleine de produits chimiques , de désinfectant , de médicaments et souvent de parasites ou des saletés diverses.

 

Reproduction

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La reproduction des carassins est peu fréquente en aquarium car ils ont besoin d’espace et les bacs dans les quels on a coutume de les maintenir sont souvent trop exigus pour leur permettre de se reproduire dans de bonnes conditions; mais il peut tout de même y avoir des pontes, surtout au printemps. Leur reproduction se fait surtout dans les étangs et bassins de jardin au début de l’été.

Il n’y a pas de différences sexuelles notables. Les mâles sont plus minces et plus sveltes que les femelles, qui ont un ventre plus arrondi . Lors des périodes de frai, les mâles présentent une région anale concave alors que le ventre des femelles devient très gros et mou . Les mâles présentent au moment de la ponte des « boutons de noce « , petits nodules , comme des boutons, sur les ouïes et les nageoires pelviennes.

On choisit des couples âgés de 3-4 ans. La maturité sexuelle est atteinte vers la 2ème année pour les mâles et seulement après 3 ans pour les femelles. La ponte a généralement lieu à la fin du printemps ou en été , dès que la température de l’eau arrive à 20-22 degrés. Le couple pond dans la végétation, après une parade nuptiale mouvementée et beacoup d’agitation. La femelle lâche ses œufs, immédiatement fécondés par la laitance du mâle et peut produire plus de 5000 œufs qui sont adhésifs et restent collés dans les plantes ,mais qui se font souvent dévorer par les parents !

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L’éclosion a lieu après 5 jours à une température de 22 degrés. On peut nourrir les alevins avec des infusoires ,du jaune d’œuf dur réduit en poudre, et plus tard des nauplies d’artémias des flocons réduits en poudre ,de la laitue séchée et émiettée . Après 3 semaines, les jeunes poissons qui mesurent 1 cm acceptent la même nourriture que les adultes, mais émiettée. Certains poissons restent bruns-verts jusqu’à l’âge de 8-10 mois où ils commencent à laisser apparaître leurs nouvelles couleurs ,rouge ,orange , blancs ou panachés, d’autres ont tout de suite des taches rouges ou noires…

photo de jeunes poissons rouges âgés de 2-4 mois…et mesurant environ 3 cm

 

Les koïs

Souvent confondues avec les poissons rouges, les koïs sont des carpes, sélectionnées depuis des centaines d’années qui peuvent mesurer presque un mètre ,mais se contentent généralement de 50 à 60 cm et vivre très longtemps.

On les différencie facilement par la présence de barbillons ( comme des moustaches ) sous la bouche.

Les carpes sont des animaux très familiers, facilement apprivoisables, qui viennent mager dans la main . Il en existe de très nombreuses variétés répertoriées par les Japonais.

Carpes ki goi ,dorée

Carpe tancho kohaku ,blanche avec une tache rouge sur la tête

Carppe Ai showa,rouge,noire et blanche

Carpe hajiro toute noire

 

carpe Platinum Ogon, blanche

carpes dorées Ki goi

 

Santé et maladie

Si les poissons sont installés dans un bac sain ,bien filtré ,oxygéné, planté ,dont les changements d’eau sont réguliers et s’ils sont peu nombreux et bien nourris ils résisteront mieux aux maladies que si ils vivent dans un bac surpeuplé et peu nettoyé . La plupart des maladies apparaissent quand les conditions de vie se détériorent parce que l’entretien du bac se relâche !

En aquarium ou dans un bassin on peut voir le taux de nitrate augmenter très rapidement et empoisonner les poissons, qui tombent au fond et meurent rapidement. Les nitrates sont le produit final de la décomposition des protéines . Le seul moyen de limiter ces nitrates est de faire des changements d’eau réguliers.

Mais il peut aussi arriver qu’on introduise un nouveau poisson porteur de germes ou de virus.

En étang, dans un grand volume, les poissons rouges sont résistants mais quand on tente de les faire vivre dans un petit aquarium ils ne survivent pas longtemps, et meurent rapidement après avoir attrapé toutes les maladies. Il n’est pas utile de mettre des médicaments, ils retomberont malades… il faut leur offrir des meilleurs conditions de vie, donc un espace bien plus grand et adapté à leurs besoins.

Maladie des points blancs. Ichtyophtirius

Causée par un parasite unicellulaire qui pénètre sous la peau. Le poisson a l’air d’être soupoudrés de sel ,couvert de petits points blancs sur le corps et les nageoires. Les poissons atteints se frottent contre le sol et le décor pour se gratter et pipent de l’air à la surface. Au stade terminal de la maladie, ils restent posés sur le fond. Il existe heureusement de nombreuses préparations vendues en animalerie pour soigner cette maladie.

 

Chilodonella cyprini et Costia necatrix

La maladie apparaît souvent quand la température de l’eau est trop basse et l’eau pas assez propre. Les poissons ont du mal à respirer, et restent prostrés., puis ils ont la peau qui  » pèle « et se couvre d’un dépôt blanchâtre.

 

Hydropisie aigüe

C’est dû à des bactéries qui apparaissent fréquemment après l’hiver ou lors d’un manque d’entretien. Les poissons sont déformés et leurs écailles sont hérissées .Cette maladie se soigne parfois aux antibiotiques, ( produits déconseillés …) mais généralement il faut sacrifier le poisson atteint et il suffit améliorer les conditions de vie des autres habitants du bac pour ne pas avoir de rechute.

 

Hydrophisie chronique

Les poissons restent au fond , ou flottent juste sous la surface,leurs nageoires sont collées et,des taches rouges ou pâles ainsi que des abcès saignants apparaissent sur la peau.

C’est une maladie grave qu’on soigne parfois, mais il est préférable de sacrifier le poisson atteint et d’augmenter de 2-3 degrés la température de l’eau .

 

Fonte des nageoires

Après une blessure, les nageoires tombent en lambeau et disparaissent petit à petit, comme rongées. On trouve dans les magasins les médicaments qui stoppent cette fonte.

 

Mousse

Un parasite assez fréquent chez les poissons affaiblis ,qui provoque des dépôts duveteux sur la peau.

 

Parasites divers

Les poissons rouges peuvent aussi être parasités par des petits crustacés qui s’accrochent sur leur peau et provoquent des irritations. Les poux ou les lernea sont visibles à l’œil nu et on peut les ôter avec une pince à épiler ou employer un produit qui les tue.

Les vers des branchies provoquent des sécrétions muqueuses, qui empêchent le poisson de respirer. Ils restent à la surface, immobiles avec les ouïes ouvertes ; leur couleur devient plus foncée et les nageoires tremblent ou parfois s’effilochent. Cette infection est mortelle généralement.

Si les poissons tombent malades c’est souvent simplement parcequ’ils sont dans un milieu qui ne leur convient pas bien ( eau trop dure ou trop douce, pH inadapté, surpopulation…etc).Parfois aussi on achète des poissons porteurs de maladies ou de parasites .

Ca ne sert à rien de les bourrer de produits chimiques pour les soigner si on ne résout pas la cause de la maladie…ils rechuteront à chaque fois…

Le problème est que l’on conseille trop souvent l’utilisation d’antibiotiques et de médicaments divers dès qu’il y a un petit problème ou 3 points blancs, au lieu de chercher à rétablir des bons paramètres dans le bac !

Les maladie arrivent généralement dans des bacs mal peuplés ou mal entretenus …

La cause de 90 % des maladies sont :

  • le manque d’entretien et d’hygiène,
  • les changements d’eau insuffisants,
  • une eau qui n’est pas adaptée aux poissons, trop dure par exemple ou trop douce… pH ou température inadapté.
  • les mauvaises conditions de maintenances des élevages industriels – les éleveurs qui abusent des antibiotiques, des colorants et additifs divers – les mauvaises conditions d’acclimation ou de transports des poissons. Bon nombre de poissons vendus en animalerie sont porteurs d’infections, affaiblis ou déjà malades.

un bac absolument surpeuplé, en animalerie….

 

 

Voir les photos de  mes étangs

Cet article a été publié en novembre 2000, dans le Nº 175 d’Aquarium Magazine

©Véronique Ivanov